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 Thabo Sefolhsa

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4 participants
AuteurMessage
Bato
Junior



Nombre de messages : 44
Date d'inscription : 07/06/2005

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MessageSujet: Thabo Sefolhsa   Thabo Sefolhsa EmptyMar 21 Juin à 13:43

J'avais vu dans le journal à fin mai que Thabo s'était inscrit pour la Draft mais qu'il allait surement se retirer étant donné qu'il pense qu'il a encore peu de chance d'accéder à la NBA cette année et qu'il préfère "assuré" le coup pour 2006.
Est-ce quelqu'un a des infos?
Quand a lieu la draft??

pig
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Sheed
Senior
Sheed


Nombre de messages : 50
Localisation : Au fan's club d'Olympic
Date d'inscription : 28/05/2005

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MessageSujet: Re: Thabo Sefolhsa   Thabo Sefolhsa EmptyMar 21 Juin à 13:45

https://bbcm-jaguars.forumactif.com/viewtopic.forum?t=38

Y a toutes les infos la, il s'est désinscrit.
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http://chief5.skyblog.com
EKA
Sophomore
EKA


Nombre de messages : 297
Localisation : Monthey
Date d'inscription : 29/05/2005

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MessageSujet: Re: Thabo Sefolhsa   Thabo Sefolhsa EmptyMar 21 Juin à 15:49

Pour la draft, elle a lieu le 28 juin
http://www.nba.com/draft2005/
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Tiago
Junior



Nombre de messages : 4
Date d'inscription : 09/06/2005

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MessageSujet: Re: Thabo Sefolhsa   Thabo Sefolhsa EmptyDim 26 Juin à 15:29

Trouvé sur le site de la Liberté:


Thabo Sefolosha a la NBA en ligne de mire


Basketball · Le Vaudois de 21 ans aurait pu devenir le premier Suisse à évoluer dans le prestigieux championnat nord-américain.Prudent, il a pour l'instant choisi de poursuivre l'aventure à Chalon, en France.

pierre salinas

Le basket moderne a évolué. Non pas dans ses règles mais bien dans sa mentalité.Les gosses d'aujourd'hui ne parlent plus de contres ni de tirs. Non, non. Ils attaquent le cercle à coups de «dunks», shootent des «three-pointers», ne jurent que par la force brute de Shaquille O'Neal, un mastodonte de 2 m 15 pour 143 kg, et l'arrogance de Kobe Bryant, rêvent de «L.A.», Big Apple ou du Madison Square Garden et s'abreuvent d'images estampillées NBA, la ligue professionnelle nord-américaine. Le royaume du strass, de la frime, du muscle et du business. Là, aussi, où les meilleures équipes de la planète se disputent le titre très officieux de «champion du monde». Demi-finaliste du championnat de France avec Chalon,Thabo Sefolosha (21 ans) incarne cette génération tournée outre-Atlantique. A cette différence près: le joueur suisse le plus «hot», oups, pardon, le pluschaud du moment a la tête solidement vissée sur les épaules. Retenu pour la fameuse «draft» du 28 juin, cérémonie qui permet chaque année aux franchises NBA de faire leurs emplettes parmi les jeunes talents en devenir, le Veveysan né de père sud-africain a prudemment décliné l'invitation.De peur de se brûler les ailes.

Lucide et doué: à ces deux qualités, Thabo Sefolosha en ajoute une troisième: la géné- rosité.Ce soir,sur le coup de 17 h à la salle du Platy de Villars-sur-Glâne, Sefolosha, le Fribourgeois Harold Mrazek et beaucoup d'autres empiéteront sur leurs vacances pour participer à un match de gala. Pour la bonne cause (voir ci-dessous). L'occasion de faire plus ample connaissance.



Thabo Sefolosha, cette saison, vous avez véritablement «cassé la baraque»...

(Il hésite) Mes stats sont correctes (9 points, 7 rebonds et 2,4 assists de moyenne en 34 matches). Et c'est vrai qu'il y a peu de joueurs de 20 ou 21 ans en France qui ont progressé aussi vite. J'en suis le premier surpris, mais peut-être moins que certains, car j'ai toujours su de quoi j'étais capable. Mon club, par exemple, ne pensait pas attendre autant de moi aussi vite.
Quand avez-vous pris conscience que vous aviez une classe à part?
Je ne sais pas si je suis vraiment plus talentueux que les autres. Simplement, j'y ai toujours cru, tout en prenant mon pied sur le terrain. Avec mon frère, on réclamait souvent le ballon. Ensemble, on a fait partie de la sélection vaudoise, avant de devenir champions suisses des moins de 21 ans avec Riviera. Là, les gens ont commencé à parler un peu de nous... Mais personnellement, j'ai toujours pris les choses comme elles venaient, sans me poser trop de questions. De toute façon, je ne suis pas du genre à me poser trop de questions...



Vous avez fait allusion à un de vos frères...

Kgomotso, mon double, mon meilleur ami. Il a un an de plus que moi. Il revient des Etats-Unis.Aujourd'hui, il joue à Saint-Etienne, en ProB. Mais je suis certainqu'il me rejoindra bientôt en première division.



N'y-a t-il jamais eu de rivalité entre vous?

Pas de concours ni de concurrence. Il est content de ma réussite et nous sommes heureux de pouvoir rejouer ensemble sous le maillot de l'équipe nationale. Aujourd'hui, le nom «Sefolosha» est un peu reconnu: j'espère que ça pourra l'aider.



Reconnu en Suisse ou en France?

Le milieu du basket suisse sait qui je suis. Mais je ne ressens pas forcément plus de respect ici que là-bas. Ici, les jeunes peuvent peut-être me prendre en exem-ple. Si ce n'est pas une fin en soi, j'en retire beaucoup de fierté.



Les jeunes d'aujourd'hui ne rêvent que de NBA. Pourquoi avoir renoncé à la «draft»?

Il était trop tôt quand même... Pour compren-dre ma décision, il faut connaître le mode d'emploi de la «draft». Les joueurs retenus au premier tour ont un contrat garanti. Celui des joueurs repêchés au second tour ne l'est pas, mais l'équipe qui t'a choisi possède néanmoins tes droits pendant trois ans. C'est-à-dire que pendant trois ans, même si tu ne joues pas pour eux, tu n'es, en quelque sorte, pas libre de tes mouvements. Et puis, il n'est possible de participer qu'une seule fois à la «draft».Je n'avais pas envie de prendre ce risque.



Avez-vous eu des échos, des indices qui vous ont laissé penser que ce ne serait pas pour cette année?

Un agent aux Etats-Unis a pris la température. Certaines équipes hésitaient. D'autres, comme San Antonio (réd: le nouveau champion NBA) et Denver, voulaient me voir jouer avant de prendre leur décision. En fait, il n'y a rien eu de vraiment concret, c'est pourquoi j'ai préféré ne pas précipiter les choses.



Mais vous n'avez pas fait une croix définitive sur la NBA?

La NBA, j'en ai toujours rêvé et j'en rêve encore. Aujourd'hui, elle est à la fois proche et très loin, mais je sais que je suis dans la bonne direction.Je sais aussi que ce rêve ne peut jamais se concrétiser car, chaque année, il y a beaucoup de prétendants pour une trentaine d'élus seulement. Mais je ne vais pas ralentir mes efforts pour autant: je travaille aussi pour plus tard.



Devenir le premier Suisse à évoluer outre-Atlantique, c'est important pour vous?

C'est un détail. Moi, c'est jouer en NBA qui m'intéresse.



Pourquoi la NBA et pas l'Italie ou l'Espagne, deux des meilleurs championnats européens?

Pour le niveau, qui est plus élevé que partout ailleurs. Et pour tout le show à côté. Ça donne envie.



Et qu'est-ce qui vous pousse à croire que vous avez le format NBA?

Je dirais que je suis un joueur assez athlétique, avec une bonne compréhension du jeu. Je défends aussi pas mal. Si on me donnait ma chance, je ne pense pas que je serais ridicule. Mais il me reste beaucoup de travail à accomplir. J'en ai parlé avec certains de mes coéquipiers à Chalon, tels Corey Crowder ou Stanley Jackson, qui ont tous deux une expérience NBA. Ils m'ont dit de foncer!



Avez-vous un plan de carrière?

Je me fixe des buts, mais rien de très «carré».Je vais jouer encore une saison avec Chalon. Après, j'aimerais regarder plus haut. I
Thabo Sefolosha, beaucoup de talent et de lucidité.
alain wicht





Thabo sefolosha


> Né le12 mai 1984 à Vevey d'un père sud-africain et d'une mère suisse.
> Deux frères et deux soeurs.
> 1 m 99, poste 2 (arrière).

Clubs.
> Blonay (juniors).
> Riviera, avec lequel il remporte le championnat suisse des moins de 21 ans.
> Chalon-sur-Saône (France, Pro A), de 2002 à 2005. 2005: participe au All Star Game avec la sélection des étrangers de Pro A. Ses statistiques de la dernière saison: 9,1 points, 6,8 rebonds, 2,4 assists, 1,8 balle perdue de moyenne en 34 matches pour une évaluation de 14,3.





«Mrazek? C'est un peu un exemple»


Tous les enfants ne marchent pas sur les traces de leurs parents. Né d'un père musicien et d'une mère peintre, Thabo Sefolosha a préféré embrasser une carrière de sportif professionnel plutôt que de mener une vie d'artiste.

A 19 ans, et après avoir évolué une saison en ligue A avec Riviera, il optait pour la France et le centre de formation de Chalon-sur-Saône alors dirigé par Manu Schmitt, aujourd'hui entraîneur des Geneva Devils et sélectionneur de l'équipe de Suisse. Là, Sefolosha vient de boucler sa deuxième saison entière avec l'équipe «pro».Une saison magistrale, qui lui a valu les honneurs de tous les journaux spécialisés.

Au fait, pourquoi Chalon (à ne pas confondre avec Châlons en Champagne, autre club de Pro A française)? «C'est marrant, parce qu'avant même que Manu ne me propose de le rejoindre, j'avais lu dans un magazine un article sur le club, que je ne connaissais pas du tout. Et, je me souviens, je m'étais dit: «Ça me plairait bien d'y aller.» Harold Mrazek (ASVEL), qui fut le premier Suisse à évoluer à l'étranger, a-t-il influencé le choix du Vaudois? «Harold, c'est un peu un exemple. Sachant qu'il était parti, on s'est dit: c'est possible!»



Sefolosha a fait le bon choix. Si l'Elan Chalon n'a pasle palmarès de Villeurbanne ni les atours de Paris, la ville tout entière vibre pour le club. A l'image de Boncourt en Suisse. «A Chalon, il n'y a pas de foot ni de rugby. Que le basket. Tout le monde nous soutient. Un groupe de supporters nous suit à l'extérieur. C'est vraiment notre sixième homme». Pour le Vaudois comme pour tous ses coéquipiers, dont John Best, un Américain de talent qui a transité par le Fribourg-Olympic, la pression n'en est que plus forte. C'est pourquoi, aujourd'hui, Thabo Sefolosha aspire au repos du guerrier. Deux mois de vacances qu'il passera notamment en Afrique du Sud, le pays de son père, avant de retrouver l'équipe nationale en septembre. PS





Match pour la bonne cause


Les matches de gala se comptent sur les doigts d'une main: celui qui aura lieu ce soir (17 h) à la salle du Platy de Villars-sur-Glâne vaudra le coup d'oeil. En effet, outre Thabo et son frère Kgomotso, Claude Geinoz a réuni, pour ne citer qu'eux, les Fribourgeois Harold Mrazek (Villeurbanne)
(photo aldo ellena)
, Patrick Koller (Union Neuchâtel) ou Maxime Jaquier, champion suisse avec Monthey. Quant à l'affiche en elle-même, elle mettra aux prises l'équipe de Villars 2004/05 renforcée des deux frangins Sefolosha à une sélection de Villars «Old School», composée d'anciens joueurs du Platy et de Jaquier. L'occasion d'assister à un très beau spectacle mais, surtout, de soutenir l'association «Ménicia», qui s'occupe principalement de récolter des fonds pour un projet d'adduction d'eau dans le sud d'Haïti. PS



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